Date de sortie : 26 août 2009 |
Réalisateur : David R. Ellis |
Acteurs : Bobby Campo, Shantel VanSanten, Nick Zano |
Genre : Epouvante-horreur |
Durée : 01h30min |
Qualité : DVDRIP |
Taille : 631 Mo
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C’est un animal très laid,
une sorte de démon. La bête mesure 1,50 mètre de haut environ, avec des
yeux en amande énormes et rouges. Elle se déplace comme un kangourou en
bondissant sur ses pattes arrière. Une langue longue et pointue dardait
de sa bouche... Luis Guadalupe est devant les policiers de Canovanas,
une ville de côte nord-ouest de l’île de Porto Rico. Il poursuit sa
déposition ainsi : 'La bête est de couleur grise mais son dos semble
changer de couleur. Elle dégage une épouvantable odeur de soufre'.
Ce
témoignage datant d’octobre 1995 pourrait être considéré comme un
délire psychopathe si, à travers l’île de Porto Rico, d’autres personnes
n’affirmaient avoir fait la même rencontre. Ces témoins parlent eux
aussi d’une très forte odeur âcre et acide, certains ont aperçu une
rangée d’épines longues d’environ 25 cm sur le dos de la créature,
d’autres l’ont entendu émettre un bourdonnement pendant qu’elle
changeait de couleur. Plusieurs témoignages font aussi état d’une
aptitude au vol.
On raconte aussi que cette bête mystérieuse serait à
l’origine de la mort de plus de 2500 animaux domestiques ou sauvages.
Un bon nombre des animaux auraient été vidés de leur sang. C’est la
raison pour laquelle les Portoricains auraient baptisé cette inquiétante
créature : El Chupacabras ce qui signifie ‘suceurs de chèvres’
en espagnol.
L’animal paraît digne de légendes fabuleuses... Que faut-il en penser ?
1. loca le 28-03-2010 à 15:02:28 (site)
bonjour
oui il est bien lait
j'aurai pas aimé le croisé
bon dimanche
Au printemps 1764, les loups sont nombreux en
Gévaudan (l’actuel Lozère). Peu de paysans possèdent des fusils, la loi
ne les y autorisant pas. Mais les bergers connaissent bien les loups et
savent qu’un jet de pierres suffit à les mettre en déroute.
Cependant en juin 1764, une vachère de
Langogne rentre au bourg affolée, ses habits déchirés : 'Une bête m'a
attaqué. Elle n'a pas cherché à s'en prendre au bétail, c'est moi
qu'elle voulait dévorer ! Les vaches l'ont fait fuir. Ce n'est pas un
loup' !
Le 30 juin une bergère de 14 ans Jeanne Boulet du hameau
des Hubacs paroisse de St Etienne de Lugdarès est retrouvée dévorée.
Le 8 août, une jeune fille de Masméjean est égorgée. Le 31 août, un
vacher de 15 ans de Cheylard l’Evêque subit le même sort. Le 1er
septembre un autre garçon est dévoré et le 6, une femme est tuée. La
peur commence à se répandre.
Etienne Lafont, syndic du diocèse
ordonne des battues. Celles-ci sont organisées mais elles ont pour seul
résultat de repousser la bête vers l'ouest.
Le 28 septembre, elle tue
encore un enfant. Le 7 octobre, une jeune fille est retrouvée près
d’Apcher, la tête tranchée.
Le 8 octobre la Bête est tirée à trois
reprises mais, détail curieux, à chaque fois elle tombe et se relève
pour disparaître dans les bois.
Le 15 octobre un enfant a la tête
tranchée ; le 19 une jeune fille est dévorée.
Le 5 novembre les
Dragons, cavaliers du Roi s'installent a Saint-Chély, leur arrivée est
suivie d'une trêve de trois semaines.
Au cours des cinq mois
suivants, la bête va se déplacer sans cesse, frappant et mettant des
kilomètres entre elle et ses poursuivants. Ainsi le 27 novembre la Bête
parcourt 40 km pour tuer deux femmes, attaquer un jeune homme et blesser
un enfant ! Entre le 25 décembre 1764 et le 6 janvier 1765, on déplore
huit morts et trois blessés.
La Bête du Gévaudan suscite beaucoup
d’émoi à la cour : le roi Louis XV décide de donner 10 000 livres à
celui qui arriverait à tuer la Bête. Duhamel le capitaine des Dragons
décida donc d'organiser une battue gigantesque : le 11 février près de
40 000 personnes sont sur le pied de guerre mais sans succès.
Face à
cet échec, le roi décide donc d’envoyer en Gévaudan son meilleur
louvetier Martin Denneval. Le 13 mars soit 10 jours après l’arrivé de
Denneval à Saint-Chély, la Bête commet quatre attaques.
Le 7
avril Gabrielle Pélissier, 17 ans est tué dans un pâturage. Comble de
l’horreur... ses vêtements ont été remis en place sur son corps mutilé
et éviscéré et son chapeau rouge enfoncé sur sa tête elle-même tranchée
net. Quel individu a bien pu passer derrière la Bête pour mettre à la
tuerie cette ultime touche macabre ?
Denneval en est certain, ce
n'est pas l'oeuvre d'un loup. Le grand louvetier continue les battues
mais les massacres continuent à Chaudeyrac, à Arzenc de Randon, à
Montchauvet, à Paulhac...
Le 1er mai 1765, la Bête reçoit deux coups
de fusils tirés par les frères de la Chaumette, réputés parmi les
meilleurs chasseurs de la région. Cette fois encore, la Bête tombe, se
roule par terre, se relève et s'enfuit… mais avec le coté du coup droit
ensanglantée. On suit les traces de sang, sûre de la trouver morte un
peu plus loin. Mais les recherches demeurent vaines et le lendemain une
femme est égorgée à Venteuges.
Le 21 juin 1765, solstice d'été :
c'est dit-on le jour ou les sorciers se rendent au sabbat. Or ce jour
là, la Bête se livre à une orgie de sang, faisant trois morts et deux
blessés !
Le roi Louis XV envoie alors en Gévaudan son
propre Lieutenant des Chasses, Antoine de Beauterne avec huit capitaines
de la Garde-Royale, six gardes-chasses et des chiens de louveterie
Royale. Antoine de Beauterne arrive dans la région le 22 juin et
s’installe au château de Besset entre la Besseyre-St-Mary et le mont
Mouchet. On imagine alors l'immense espoir que son arrivée suscite au
pays.
Fait bizarre, la bête fait la morte depuis le jour précis ou
Antoine de Beauterne est arrivé en Gévaudan. Mais le 4 juillet elle se
réveille et tue une femme. Le 29 juillet, la victime est un enfant et le
3 août, un autre enfant est grièvement blessé.
Le 9 août, les
chasseurs débusquent la Bête et la poursuivent sur 16 km. Cependant il
la perde de vue à la tombée de la nuit.
Larry eut le sentiment de
léviter et pourtant son corps n’avait pas bougé. En dessous de lui, il
se voyait nettement couché à côté de Mary son épouse endormie. Tout se
passait comme s’il était 'sorti' de son propre corps. Mais peut-être que
tout cela n’était qu’un simple rêve !!!
Et pourtant tout cela
paraissait bel et bien réel. Sa vision de la chambre était trop nette,
trop précise pour ce soit un rêve. Afin de s’assurer de la réalité des
évènements, Larry voulut tenter l’impossible.
Du haut du plafond où
son corps flottait, Larry regarda par la fenêtre et vit la ligne de
chemin de fer. Comme il se demandait s’il lui était possible de
l’atteindre, il franchit la vitre comme par enchantement et se retrouva
en train de planer à l’air libre. Il parvint ainsi très facilement
jusqu’à la ligne du chemin de fer qu’il suivit un instant :
'l’impression était grisante' dit-il.
Et puis Larry Mayer aperçut
au-dessus de lui un étrange tunnel de brume suspendu dans les airs. Il
ne put résister à la tentation d’y pénétrer. Alors qu’il flottait
librement à l’intérieur du tunnel, des centaines de mains surgirent de
la brume agrippant son corps. Alors que Larry tentait de repousser ses
agresseurs sans visage, soudain la brume à l’extrémité du tunnel se
dissipa révélant un paysage de montagnes inconnu de Larry.
Le site
était d’une époustouflante beauté, une lumière beige pastel baignait les
sommets. Dans le ciel d’un bleu limpide brillait un soleil doré. Le
paradis qui s’ouvrait devant lui à présent lui paraissait accessible
mais quelque chose lui disait que le moment n’était pas encore venu.
Alors qu’il contemplait ce panorama, des mains venues de nulle part
l’empoignèrent. C’est alors qu’il réintégra sa dépouille charnelle.
Il
était étendu sur son lit, haletant et en sueur.
Larry resta
éveillé longuement songeant à ce qu’il avait vécu : était-ce autre chose
qu’un rêve particulièrement marquant ? Etait-il possible que l’essence
même de son être, son âme peut-être, ait quitté son corps pour une autre
dimension ?
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